[récital] Ida Pelliccioli - Introspection - piano -
2025-09-12 -
19:30
Les œuvres choisies dans ce programme nommé « Introspections » permettent de découvrir d’une manière nouvelle et plus profonde des compositeurs pourtant connus. Avec Sibélius, on touche au symbole musical de la Finlande, pays natif du compositeur. Chez Brahms, les Chorales sont, pour le compositeur « une rétrospective et un épilogue, une salutation à la jeunesse et aux idéaux, ainsi qu’un adieu au monde ». La Fantaisie de Busoni, quant à elle, est un hommage à son père, décédé quelques mois après sa mère. C’est une manière de le remercier pour l’avoir introduit très jeune à l’art de la musique. Janacek révèle une part de sa musicalité très intime et sensible en écrivant In the Mists. Enfin, chez Rachmaninov, l’Élégie est une œuvre épique et tragique à la fois, faite de belles mélodies, un climax imposant et une atmosphère mélancolique.
SIBELIUS Six impromptus, op. 5
BRAHMS/BUSONI « Herzlich tut michverlangen » , 11 Chorale Prelude, n°10, op.122
BUSONI Fantasia d’après J.S. Bach, BV 253
JANACEK In the mists
RACHMANINOV Elegie, op.3 n°1 des « Morceaux de fantaisie »
IDA PELLICCIOLI :
Ida Pelliccioli est une pianiste italo-croatienne qui a grandi en France. Son bagage multiculturel se perçoit souvent dans ses choix de répertoire, comme dans son intérêt pour la musique contemporaine ou ses collaborations avec de jeunes compositeurs.
Les œuvres choisies dans ce programme nommé « Introspections » permettent de découvrir d’une manière nouvelle et plus profonde des compositeurs pourtant connus. Avec Sibélius, on touche au symbole musical de la Finlande, pays natif du compositeur. Chez Brahms, les Chorales sont, pour le compositeur « une rétrospective et un épilogue, une salutation à la jeunesse et aux idéaux, ainsi qu’un adieu au monde ». La Fantaisie de Busoni, quant à elle, est un hommage à son père, décédé quelques mois après sa mère. C’est une manière de le remercier pour l’avoir introduit très jeune à l’art de la musique. Janacek révèle une part de sa musicalité très intime et sensible en écrivant In the Mists. Enfin, chez Rachmaninov, l’Élégie est une œuvre épique et tragique à la fois, faite de belles mélodies, un climax imposant et une atmosphère mélancolique.
SIBELIUS Six impromptus, op. 5
BRAHMS/BUSONI « Herzlich tut michverlangen » , 11 Chorale Prelude, n°10, op.122
BUSONI Fantasia d’après J.S. Bach, BV 253
JANACEK In the mists
RACHMANINOV Elegie, op.3 n°1 des « Morceaux de fantaisie »
IDA PELLICCIOLI :
Ida Pelliccioli est une pianiste italo-croatienne qui a grandi en France. Son bagage multiculturel se perçoit souvent dans ses choix de répertoire, comme dans son intérêt pour la musique contemporaine ou ses collaborations avec de jeunes compositeurs.
[récital] Jean-Luc Ho - La famille Bach - clavicorde -
2025-09-26 -
19:30
150 ans de répertoire de clavier.
BACH, Johann Christoph (1642-1703)
Wenn wir in höchsten Nöten sein Praeludium & Fuga
BACH, Johann Sebastian (1685-1750)
Suite en do, BWV 997
BACH, Wilhelm Friedemann (1710-1784)
Polonaise n°2 - 3 fugues (1778)
Fantaisie c-Moll 2
BACH, Carl Philipp Emanuel (1714-1788)
La Stahl - La Buchholtz
BACH, Johann Sebastian (1685-1750)
Ricercare à 3, BWV 1079
Vor deinen Thron tret’ich hiermit, BWV 668
BACH, [Johann] Christian (1743-1814)
Fugue für das Pianoforte über die Buchstaben seines Namens Leipzig, ca. 1810
Jean-Luc Ho
Jean-Luc Ho étudie le clavecin, l’orgue et le clavicorde. Aujourd’hui musicien de claviers, il se produit principalement en récital, en France et à l’étranger. Sa discographie est fidèle à son amour quotidien pour Bach, Couperin, Byrd, Sweelinck...
Son attention pour les instruments et les ateliers de facture le conduisent aussi bien à s’impliquer dans la renaissance d’un orgue castillan de 1768 (aujourd’hui à Fresnes) qu’à former sa propre collection d’instruments. Il a été nommé en 2021 aux côtés de Guillaume Prieur organiste-adjoint de l’orgue historique de la collégiale de Dole, dont le titulaire est Pierre Pfister.
Artiste-résident du Festival Bach en Combrailles (2017-2020) et de la Fondation Royaumont (2018-2021), il enseigne depuis 2021 l’accord et les tempéraments au CNSMD de Paris. Il est diplômé du CNSMD de Paris (2006) des classes d’Olivier Baumont (clavecin), Blandine Rannou (basse-continue). Il reste profondément marqué par ses trois années d’apprentissage avec Blandine Verlet.
150 ans de répertoire de clavier.
BACH, Johann Christoph (1642-1703)
Wenn wir in höchsten Nöten sein Praeludium & Fuga
BACH, Johann Sebastian (1685-1750)
Suite en do, BWV 997
BACH, Wilhelm Friedemann (1710-1784)
Polonaise n°2 - 3 fugues (1778)
Fantaisie c-Moll 2
BACH, Carl Philipp Emanuel (1714-1788)
La Stahl - La Buchholtz
BACH, Johann Sebastian (1685-1750)
Ricercare à 3, BWV 1079
Vor deinen Thron tret’ich hiermit, BWV 668
BACH, [Johann] Christian (1743-1814)
Fugue für das Pianoforte über die Buchstaben seines Namens Leipzig, ca. 1810
Jean-Luc Ho
Jean-Luc Ho étudie le clavecin, l’orgue et le clavicorde. Aujourd’hui musicien de claviers, il se produit principalement en récital, en France et à l’étranger. Sa discographie est fidèle à son amour quotidien pour Bach, Couperin, Byrd, Sweelinck...
Son attention pour les instruments et les ateliers de facture le conduisent aussi bien à s’impliquer dans la renaissance d’un orgue castillan de 1768 (aujourd’hui à Fresnes) qu’à former sa propre collection d’instruments. Il a été nommé en 2021 aux côtés de Guillaume Prieur organiste-adjoint de l’orgue historique de la collégiale de Dole, dont le titulaire est Pierre Pfister.
Artiste-résident du Festival Bach en Combrailles (2017-2020) et de la Fondation Royaumont (2018-2021), il enseigne depuis 2021 l’accord et les tempéraments au CNSMD de Paris. Il est diplômé du CNSMD de Paris (2006) des classes d’Olivier Baumont (clavecin), Blandine Rannou (basse-continue). Il reste profondément marqué par ses trois années d’apprentissage avec Blandine Verlet.
D’abord orientée vers une formation pianistique, Hélène Dautry dirige plus tardivement sa curiosité vers le violoncelle, instrument avec lequel elle développe très rapidement un parcours exceptionnel qui la mène après cinq années d’études à l’admission au CNSM de Paris. Élève de Maurice Gendron pour le violoncelle, de Jean Hubeau pour la musique de chambre elle obtient, en trois ans, un brillant premier prix de violoncelle et poursuit ses études dans cet établissement en suivant le troisième cycle de perfectionnement de musique de chambre dans la classe de Jean Mouillière.
Violoncelle solo de l’orchestre de chambre Jean-François Paillard, elle a eu l’occasion de se produire en soliste dans le monde entier et de s’enrichir d’une expérience artistique très porteuse.
Parallèlement à sa carrière de concertiste, Hélène Dautry a été successivement professeur aux conservatoires de Lille et de Fresnes. Depuis 2007, elle est nommée professeur au Royal College Of Music de Londres à la demande des étudiants. Elle rejoint l’équipe enseignante du Conservatoire de Paris en mai 2009.
Reconnue comme étant l’une des personnalités les plus marquantes de sa génération, Hélène Dautry se passionne pour la transmission et le partage de la musique.
D’abord orientée vers une formation pianistique, Hélène Dautry dirige plus tardivement sa curiosité vers le violoncelle, instrument avec lequel elle développe très rapidement un parcours exceptionnel qui la mène après cinq années d’études à l’admission au CNSM de Paris. Élève de Maurice Gendron pour le violoncelle, de Jean Hubeau pour la musique de chambre elle obtient, en trois ans, un brillant premier prix de violoncelle et poursuit ses études dans cet établissement en suivant le troisième cycle de perfectionnement de musique de chambre dans la classe de Jean Mouillière.
Violoncelle solo de l’orchestre de chambre Jean-François Paillard, elle a eu l’occasion de se produire en soliste dans le monde entier et de s’enrichir d’une expérience artistique très porteuse.
Parallèlement à sa carrière de concertiste, Hélène Dautry a été successivement professeur aux conservatoires de Lille et de Fresnes. Depuis 2007, elle est nommée professeur au Royal College Of Music de Londres à la demande des étudiants. Elle rejoint l’équipe enseignante du Conservatoire de Paris en mai 2009.
Reconnue comme étant l’une des personnalités les plus marquantes de sa génération, Hélène Dautry se passionne pour la transmission et le partage de la musique.
Concert évènement ! La nuit est l'un des thèmes les plus forts du romantisme. En effet, cette fascination de la nuit est liée à cet amour du mystère et du rêve. La nuit, toutes les visions irréelles peuvent s’imposer en oubliant tous les maux du jour. La nuit peut aussi être associée à un symbole du déclin de la vie humaine. Dans ce cas, le crépuscule représente les derniers soupirs de l’existence. De nombreux compositeurs du XIXe se sont intéressés à ce thème de la nuit, notamment Schumann avec ses Nachtstücke, Chopin dans sa deuxième Sonate dite funèbre et dans ses Nocturnes, Clara Schumann avec ses Soirées musicales. Un monde nocturne si étincelant et touchant…
Robert Schumann- 4 Nachstücke op. 23
Clara Schumann - Soirées musicales op. 6 : Notturno
Johannes Brahms - Klavierstücke op. 118
Frédéric Chopin - Nocturnes No. 2 op. 9, No. 1 op. 27 - Sonate funèbre
Fanny Azzuro
Empruntant tous les chemins que lui ouvre son appétence de répertoires, de rencontres et d’expériences, et inspirée par son mentor Boris Petrushansky avec qui elle a étudié à la prestigieuse Académie pianistique d’Imola, Fanny Azzuro est la première française à graver l’intégrale des Préludes de Rachmaninov : son album The Landscapes of the Soul est largement plébiscité par la presse. Il est sélectionné disque classique du mois d’octobre 2021 dans Le Monde, récompensé de 5 étoiles dans Classica ainsi que dans la revue italienne Musica et reçoit 4 étoiles dans La Libre Belgique, « une nouvelle référence en la matière ! » (Resmusica).
Elle se produit sur des scènes prestigieuses : au Carnegie Hall, au Festival de la Roque d’Anthéron, à la Folle Journée de Nantes, au Nohant Festival Chopin, au Lille Piano Festival, à la Salle Cortot, au Kammermusiksall Beethoven Haus à Bonn, à Bruxelles Flagey, au Seoul Art Center, au Shanghai Daning Theatre, à la Radio Télévision Suisse, à Zurich, au Miry Concertzaal de Gand, à Dallas, à Washington, à Pékin, à Djibouti, à Dubaï, à Abu Dhabi, à Londres, au Brésil...
Aimant créer des passerelles entre différents univers, elle se montre passionnée aussi bien par le répertoire de soliste que par celui de musique de chambre. Elle développe de nouveaux projets en duo avec les violonistes Solenne Païdassi, David Haroutunian, Anna Göckel, la percussionniste Adélaïde Ferrière mais aussi en trio avec la violoncelliste Ophélie Gaillard autour des trios de Rachmaninov pour fêter le double anniversaire Rachmaninov en 2023, ainsi qu’avec la comédienne Brigitte Fossey. Elle a joué avec de nombreux quatuors (Talich, Hermès, Voce, Girard, Van Kuijk) les Quintettes de Schumann, Fauré, Brahms, Franck.
Diplômée du CNSMD de Paris en piano et en musique de chambre, Fanny Azzuro a remporté plusieurs prix lors de concours internationaux en France et aux États-Unis (Cincinnati et Washington). Artiste Yamaha, elle a reçu le soutien de la Spedidam, du Mécénat Musical Société Générale, de la Fondation Safran et de l’Adami.
Vendredi 24 octobre 2025 | 19h30 | Sur réservation | 25€
Concert évènement ! La nuit est l'un des thèmes les plus forts du romantisme. En effet, cette fascination de la nuit est liée à cet amour du mystère et du rêve. La nuit, toutes les visions irréelles peuvent s’imposer en oubliant tous les maux du jour. La nuit peut aussi être associée à un symbole du déclin de la vie humaine. Dans ce cas, le crépuscule représente les derniers soupirs de l’existence. De nombreux compositeurs du XIXe se sont intéressés à ce thème de la nuit, notamment Schumann avec ses Nachtstücke, Chopin dans sa deuxième Sonate dite funèbre et dans ses Nocturnes, Clara Schumann avec ses Soirées musicales. Un monde nocturne si étincelant et touchant…
Robert Schumann- 4 Nachstücke op. 23
Clara Schumann - Soirées musicales op. 6 : Notturno
Johannes Brahms - Klavierstücke op. 118
Frédéric Chopin - Nocturnes No. 2 op. 9, No. 1 op. 27 - Sonate funèbre
Fanny Azzuro
Empruntant tous les chemins que lui ouvre son appétence de répertoires, de rencontres et d’expériences, et inspirée par son mentor Boris Petrushansky avec qui elle a étudié à la prestigieuse Académie pianistique d’Imola, Fanny Azzuro est la première française à graver l’intégrale des Préludes de Rachmaninov : son album The Landscapes of the Soul est largement plébiscité par la presse. Il est sélectionné disque classique du mois d’octobre 2021 dans Le Monde, récompensé de 5 étoiles dans Classica ainsi que dans la revue italienne Musica et reçoit 4 étoiles dans La Libre Belgique, « une nouvelle référence en la matière ! » (Resmusica).
Elle se produit sur des scènes prestigieuses : au Carnegie Hall, au Festival de la Roque d’Anthéron, à la Folle Journée de Nantes, au Nohant Festival Chopin, au Lille Piano Festival, à la Salle Cortot, au Kammermusiksall Beethoven Haus à Bonn, à Bruxelles Flagey, au Seoul Art Center, au Shanghai Daning Theatre, à la Radio Télévision Suisse, à Zurich, au Miry Concertzaal de Gand, à Dallas, à Washington, à Pékin, à Djibouti, à Dubaï, à Abu Dhabi, à Londres, au Brésil...
Aimant créer des passerelles entre différents univers, elle se montre passionnée aussi bien par le répertoire de soliste que par celui de musique de chambre. Elle développe de nouveaux projets en duo avec les violonistes Solenne Païdassi, David Haroutunian, Anna Göckel, la percussionniste Adélaïde Ferrière mais aussi en trio avec la violoncelliste Ophélie Gaillard autour des trios de Rachmaninov pour fêter le double anniversaire Rachmaninov en 2023, ainsi qu’avec la comédienne Brigitte Fossey. Elle a joué avec de nombreux quatuors (Talich, Hermès, Voce, Girard, Van Kuijk) les Quintettes de Schumann, Fauré, Brahms, Franck.
Diplômée du CNSMD de Paris en piano et en musique de chambre, Fanny Azzuro a remporté plusieurs prix lors de concours internationaux en France et aux États-Unis (Cincinnati et Washington). Artiste Yamaha, elle a reçu le soutien de la Spedidam, du Mécénat Musical Société Générale, de la Fondation Safran et de l’Adami.
Vendredi 24 octobre 2025 | 19h30 | Sur réservation | 25€
[récital] Raphael Bereau - guitare - Old or new school? -
2025-11-07 -
19:30
"Old or New School" explore les tensions créatives entre l'héritage et l'innovation avec une guitare.
À travers des compositions et des improvisations, ce projet interroge la dualité entre les sonorités classiques héritées des grands maîtres, et les possibilités infinies offertes par les approches contemporaines.
Un voyage musical qui nous pousse à réfléchir : faut-il se nourrir de ce que l'on a appris, ou oser l'inconnu pour se réinventer ?
John DOWLAND Piper’s pavan
Heitor VILLA-LOBOS Préludes 1 et 3
Léo BROUWER Élogio de la Danza
Isaac ALBENIZ Asturias
Julio SAGRERAS Étude n°4
TOQUINHO & MORAIS Bossa Nova
__________________________
Carlos DOMENICONI Koyunbaba
Steve REICH Electric counterpoint
Raphaël BEREAU Remember
Raphaël Béreau se forme à l’École Normale de Paris dans la classe de Christian Rivet et obtient son Master d’Interprétation dans la classe d’Alvaro Pierri à Montréal. Il se forme à l’analyse ainsi qu’à la musique de chambre au CNR de Paris dans les classes d’Eric Lesage et Paul Meyer.
Avec le guitariste Tizoc Romero, il crée à Vienne le Duo R2T2 qui explore un vaste répertoire d’œuvres originales et d’arrangements personnels. Sa carrière prend une dimension internationale lors de sa participation au Festival International de Guitare de Paris et à deux tournées en Inde, mêlant
concerts et masterclass. Chambriste accompli, il est lauréat de nombreux concours internationaux de musique de chambre :
1er prix au Concours International d’Omis (Croatie, 2015), 1er prix à l’unanimité au Concours International d’Elche (Espagne,2014), 1er prix au Concours International de Schweinfurt (Allemagne, 2014), le Prix du Public au Concours International de Valencia (Espagne, 2012).
Raphaël multiplie voyages et rencontres musicales faisant dialoguer la guitare avec d’autres instruments : le violon, la contrebasse, la flûte, la voix, le quatuor à cordes, l’orchestre. Il prépare actuellement un album consacré à la musique française avec le violoniste Jean-Samuel Bez avec lequel il a déjà enregistré une œuvre de Jacqueline Fontyn, pour laquelle il a obtenu le prix Caecilia. Il vit actuellement à Vienne en Autriche.
"Old or New School" explore les tensions créatives entre l'héritage et l'innovation avec une guitare.
À travers des compositions et des improvisations, ce projet interroge la dualité entre les sonorités classiques héritées des grands maîtres, et les possibilités infinies offertes par les approches contemporaines.
Un voyage musical qui nous pousse à réfléchir : faut-il se nourrir de ce que l'on a appris, ou oser l'inconnu pour se réinventer ?
John DOWLAND Piper’s pavan
Heitor VILLA-LOBOS Préludes 1 et 3
Léo BROUWER Élogio de la Danza
Isaac ALBENIZ Asturias
Julio SAGRERAS Étude n°4
TOQUINHO & MORAIS Bossa Nova
__________________________
Carlos DOMENICONI Koyunbaba
Steve REICH Electric counterpoint
Raphaël BEREAU Remember
Raphaël Béreau se forme à l’École Normale de Paris dans la classe de Christian Rivet et obtient son Master d’Interprétation dans la classe d’Alvaro Pierri à Montréal. Il se forme à l’analyse ainsi qu’à la musique de chambre au CNR de Paris dans les classes d’Eric Lesage et Paul Meyer.
Avec le guitariste Tizoc Romero, il crée à Vienne le Duo R2T2 qui explore un vaste répertoire d’œuvres originales et d’arrangements personnels. Sa carrière prend une dimension internationale lors de sa participation au Festival International de Guitare de Paris et à deux tournées en Inde, mêlant
concerts et masterclass. Chambriste accompli, il est lauréat de nombreux concours internationaux de musique de chambre :
1er prix au Concours International d’Omis (Croatie, 2015), 1er prix à l’unanimité au Concours International d’Elche (Espagne,2014), 1er prix au Concours International de Schweinfurt (Allemagne, 2014), le Prix du Public au Concours International de Valencia (Espagne, 2012).
Raphaël multiplie voyages et rencontres musicales faisant dialoguer la guitare avec d’autres instruments : le violon, la contrebasse, la flûte, la voix, le quatuor à cordes, l’orchestre. Il prépare actuellement un album consacré à la musique française avec le violoniste Jean-Samuel Bez avec lequel il a déjà enregistré une œuvre de Jacqueline Fontyn, pour laquelle il a obtenu le prix Caecilia. Il vit actuellement à Vienne en Autriche.
[récital] Gabriel Rignol - Théorbo -
2025-11-21 -
19:30
Ce programme retrace la vie du théorbe, avec une première partie sur son invention en Italie et Kapsberger, Castaldi et Piccinini, puis son arrivée en France avec Robert de Visée etc…
Johannes Hieronymus Kapsberger (Venise 1580 – Rome 1651)
Libro quarto (1640) d'Intavolatura di Chitarone
Bellerofonte Castaldi (Collegara 1580 – Modena 1649)
Capricci a due stromenti (1622)
Alessandro Piccinini (Bologne 1566 – Bologne 1638)
Intavolatura di Liuto et di Chitarrone, libro primo (1632)
Suite en ré et sol mineur : Toccata Prima, Arpeggiata a mio modo, Passacaglia,Toccata VI, Canario & Sfessaina
Robert De Visée (France 1650 – Paris 1725)
Ms. Vaudry de Saizenay (1699) - Suite en la mineur
Jean Sebastien Bach (Eisenach 1685 – Leipzig 1750)
Suites pour Violoncelle (1726) - Première suite en sol majeur BWV 1007
GABRIEL RIGNOL
Gabriel Rignol commence la guitare à l’age de 8 ans au CRR de Perpignan dans la classe de Michel Rubio. C’est avec cet instrument qu’il remporta à 12 ans le premier prix du concours de Lempdes, et à 14 ans le troisième prix du concours Arpoador avant d’obtenir à 15 ans son DEM mention très bien à l’unanimité. Il décida alors de se consacrer au luth avec Béatrice PORNON et fut admis dès ses 16 ans au Conservatoire de Lyon dans la classe de Rolf Lislevand où il obtient son master en 2023.
Il enregistre pour différents labels en tant que continuiste (Alpha Classics, Ricercar, Harmonia Mundi, Aparté …), et en tant que soliste (Deutsche Grammophon, L'encelade, Ricercar). En Août 2021 il remporte le 1er prix du Xème Concours International de Musique Ancienne Maurizio Pratola, lui permettant d’être invité pour des récitals dans de nombreux différents festivals de France et à l’international (Modene, Venise, etc.). En 2021 il fonde l’ensemble La Nébuleuse qui s’efforce à mettre en valeur le répertoire français et italien du XVIIème siècle.
Ce programme retrace la vie du théorbe, avec une première partie sur son invention en Italie et Kapsberger, Castaldi et Piccinini, puis son arrivée en France avec Robert de Visée etc…
Johannes Hieronymus Kapsberger (Venise 1580 – Rome 1651)
Libro quarto (1640) d'Intavolatura di Chitarone
Bellerofonte Castaldi (Collegara 1580 – Modena 1649)
Capricci a due stromenti (1622)
Alessandro Piccinini (Bologne 1566 – Bologne 1638)
Intavolatura di Liuto et di Chitarrone, libro primo (1632)
Suite en ré et sol mineur : Toccata Prima, Arpeggiata a mio modo, Passacaglia,Toccata VI, Canario & Sfessaina
Robert De Visée (France 1650 – Paris 1725)
Ms. Vaudry de Saizenay (1699) - Suite en la mineur
Jean Sebastien Bach (Eisenach 1685 – Leipzig 1750)
Suites pour Violoncelle (1726) - Première suite en sol majeur BWV 1007
GABRIEL RIGNOL
Gabriel Rignol commence la guitare à l’age de 8 ans au CRR de Perpignan dans la classe de Michel Rubio. C’est avec cet instrument qu’il remporta à 12 ans le premier prix du concours de Lempdes, et à 14 ans le troisième prix du concours Arpoador avant d’obtenir à 15 ans son DEM mention très bien à l’unanimité. Il décida alors de se consacrer au luth avec Béatrice PORNON et fut admis dès ses 16 ans au Conservatoire de Lyon dans la classe de Rolf Lislevand où il obtient son master en 2023.
Il enregistre pour différents labels en tant que continuiste (Alpha Classics, Ricercar, Harmonia Mundi, Aparté …), et en tant que soliste (Deutsche Grammophon, L'encelade, Ricercar). En Août 2021 il remporte le 1er prix du Xème Concours International de Musique Ancienne Maurizio Pratola, lui permettant d’être invité pour des récitals dans de nombreux différents festivals de France et à l’international (Modene, Venise, etc.). En 2021 il fonde l’ensemble La Nébuleuse qui s’efforce à mettre en valeur le répertoire français et italien du XVIIème siècle.
[conte musical] Belle et Marin - Trio Bowind -
2025-12-05 -
19:30
« Il était une fois une belle femme des terres au visage juvénile, si éprise d'un jeune mousse candide, qu'elle s'infléchit à le quitter afin qu'il demeure libre de ne pas choisir entre Aimer et Naviguer.
"Si je lui avais coupé les ailes, il aurait été mien, il ne serait pas parti, mais alors, il n'aurait plus été un oiseau .... et moi, c'est l'oiseau que j'aimais..." »
Venez découvrir l’aventure de ces amants-là, épique et tendre, qui saura vous émouvoir.
Antoine Lusley : Trombone à coulisse
Vincent Le Tortorec : Violoncelle
Corentin Coïc : Saxophones
Yves Vandenbuscche : Récitant, chant
Le Trio BoWind, groupe de musique atypique composé de Corentin Coïc aux saxophones, Vincent Le Tortorec au violoncelle et Antoine Lusley au trombone, présente deux concerts à la Maison de la Sirène.
Le répertoire de cet ensemble est très varié, allant de la musique baroque à la musique contemporaine, en passant par le jazz et les musiques du monde.
« Il était une fois une belle femme des terres au visage juvénile, si éprise d'un jeune mousse candide, qu'elle s'infléchit à le quitter afin qu'il demeure libre de ne pas choisir entre Aimer et Naviguer.
"Si je lui avais coupé les ailes, il aurait été mien, il ne serait pas parti, mais alors, il n'aurait plus été un oiseau .... et moi, c'est l'oiseau que j'aimais..." »
Venez découvrir l’aventure de ces amants-là, épique et tendre, qui saura vous émouvoir.
Antoine Lusley : Trombone à coulisse
Vincent Le Tortorec : Violoncelle
Corentin Coïc : Saxophones
Yves Vandenbuscche : Récitant, chant
Le Trio BoWind, groupe de musique atypique composé de Corentin Coïc aux saxophones, Vincent Le Tortorec au violoncelle et Antoine Lusley au trombone, présente deux concerts à la Maison de la Sirène.
Le répertoire de cet ensemble est très varié, allant de la musique baroque à la musique contemporaine, en passant par le jazz et les musiques du monde.
[concert] Elise Bertrand et Gaspard Thomas - violon et piano -
2026-02-06 -
19:30
Élise Bertrand s’est formée au conservatoire national supérieur de Paris de Paris ou elle obtient un master de violon ainsi qu’un master de musique de chambre en sonate avec Gaspard Thomas, prolongeant en parallèle son parcours dans les classes d’écriture supérieure dans le même établissement (harmonie, contrepoint, fugue, orchestration…).
En 2022, elle devient Artiste en résidence à la Chapelle Musicale Reine Elisabeth dans la classe d’Augustin Dumay et remporte de nombreux concours de violon, musique de chambre et de composition, notamment le 2ème Prix du Concours International Ginette Neveu et le Prix Spécial pour la meilleure interprétation de la pièce contemporaine.
Nominée « Révélation Soliste Instrumental » des Victoires de la Musique 2024, Élise mène une double carrière de violoniste et compositrice, défendant avec passion le répertoire méconnu et contemporain, mêlant ainsi interprétation et création. Elle est récompensée pour la singularité de son parcours musical par le soutien des Fondations Gautier Capuçon, L’Or du Rhin, Safran et Charles Oulmont.
Chambriste très appréciée, elle se produit notamment aux côtés de Gaspard Thomas, en duo constitué sur les scènes de La Roque-d’Anthéron, en récital aux Sommets Musicaux de Gstaad, à la Fondation Maeght de St Paul de Vence, au Festival de Pâques d’Aix-en-Provence, au Festival d’Auvers-sur-Oise, au Palazetto Bru Zane de Venise, à l’Antwerpen Spring Festival, au Festival International de Colmar ou encore au Festival L’Offrande Musicale.
Publiées par l'éditeur Billaudot et Klarthe, sa Sonate-Poème, Op.11 est récompensée par la médaille de l’Académie des Sciences, Lettres et Arts d’Arras.
Des articles lui sont également consacrés dans Classica, Diapason, Pianiste, Classykeo, Traversières Magazine et The Strad Korea.
Élise joue un violon de Joseph Gagliano, Naples 1796, généreusement prêté par la Fondation d’entreprise Société Générale.
Gaspard THOMAS a étudié au conservatoire national supérieur de Paris et a remporté de nombreuses récompenses lors de concours internationaux, en particulier au Concours Szymanowski de Katowice en Pologne où il obtient le Troisième Prix et deux prix spéciaux. Il a remporté également un Premier Prix au concours France-Amériques ainsi qu’un Second prix et 7 prix spéciaux au concours Piano Campus à Pontoise. Il est par ailleurs lauréat de l’Académie Musicale Philippe Jaroussky, de l’Académie de Villecroze, des fondations Banque Populaire et Safran ainsi qu’artiste en résidence à la Fondation Singer-Polignac depuis 2021. Il est nommé parmi les Talents Adami Classique 2024.
Il se perfectionne actuellement auprès de Benedetto Lupo à l’Accademia Santa Cecilia de Rome.
Programme
MALHER : Transcr. de l’Adagietto, Symph. n°5
Schubert : Fantaisie en do
Strauss : Don Juan, transcription pour piano
Brahms : Sonate n°3
Elise Bertrand : violon | Gaspard Thomas : piano
Élise Bertrand s’est formée au conservatoire national supérieur de Paris de Paris ou elle obtient un master de violon ainsi qu’un master de musique de chambre en sonate avec Gaspard Thomas, prolongeant en parallèle son parcours dans les classes d’écriture supérieure dans le même établissement (harmonie, contrepoint, fugue, orchestration…).
En 2022, elle devient Artiste en résidence à la Chapelle Musicale Reine Elisabeth dans la classe d’Augustin Dumay et remporte de nombreux concours de violon, musique de chambre et de composition, notamment le 2ème Prix du Concours International Ginette Neveu et le Prix Spécial pour la meilleure interprétation de la pièce contemporaine.
Nominée « Révélation Soliste Instrumental » des Victoires de la Musique 2024, Élise mène une double carrière de violoniste et compositrice, défendant avec passion le répertoire méconnu et contemporain, mêlant ainsi interprétation et création. Elle est récompensée pour la singularité de son parcours musical par le soutien des Fondations Gautier Capuçon, L’Or du Rhin, Safran et Charles Oulmont.
Chambriste très appréciée, elle se produit notamment aux côtés de Gaspard Thomas, en duo constitué sur les scènes de La Roque-d’Anthéron, en récital aux Sommets Musicaux de Gstaad, à la Fondation Maeght de St Paul de Vence, au Festival de Pâques d’Aix-en-Provence, au Festival d’Auvers-sur-Oise, au Palazetto Bru Zane de Venise, à l’Antwerpen Spring Festival, au Festival International de Colmar ou encore au Festival L’Offrande Musicale.
Publiées par l'éditeur Billaudot et Klarthe, sa Sonate-Poème, Op.11 est récompensée par la médaille de l’Académie des Sciences, Lettres et Arts d’Arras.
Des articles lui sont également consacrés dans Classica, Diapason, Pianiste, Classykeo, Traversières Magazine et The Strad Korea.
Élise joue un violon de Joseph Gagliano, Naples 1796, généreusement prêté par la Fondation d’entreprise Société Générale.
Gaspard THOMAS a étudié au conservatoire national supérieur de Paris et a remporté de nombreuses récompenses lors de concours internationaux, en particulier au Concours Szymanowski de Katowice en Pologne où il obtient le Troisième Prix et deux prix spéciaux. Il a remporté également un Premier Prix au concours France-Amériques ainsi qu’un Second prix et 7 prix spéciaux au concours Piano Campus à Pontoise. Il est par ailleurs lauréat de l’Académie Musicale Philippe Jaroussky, de l’Académie de Villecroze, des fondations Banque Populaire et Safran ainsi qu’artiste en résidence à la Fondation Singer-Polignac depuis 2021. Il est nommé parmi les Talents Adami Classique 2024.
Il se perfectionne actuellement auprès de Benedetto Lupo à l’Accademia Santa Cecilia de Rome.
Programme
MALHER : Transcr. de l’Adagietto, Symph. n°5
Schubert : Fantaisie en do
Strauss : Don Juan, transcription pour piano
Brahms : Sonate n°3
Elise Bertrand : violon | Gaspard Thomas : piano
[concert] Le Tortorec, Carbonne et Walspeck - Trio de Bruch et Brahms pour violoncelle, clarinette et piano -
2026-03-13 -
19:30
Habitués de la Sirène, vos hôtes préférés ne sont pas que serveurs !
Venez les découvrir dans du répertoire original romantique.
« N'ayant pas composé de musique de chambre pendant plusieurs décennies, Max Bruch écrivit en 1909 les Huit pièces pour clarinette, violoncelle et piano; l'ensemble fut publié l'année suivante par son fidèle éditeur Simrock. Elles appartiennent au genre des pièces de caractère de Schumann, comme les huit Fantasiestücke op. 12 et surtout le quatuor des «Märchenerzählungen» op. 113, écrites pour la même combinaison d'instruments. Selon Clara Schumann, les «Märchenerzählungen» étaient décrits par son mari comme étant "hautement romantiques", et l'on pourrait à juste titre en dire autant des huits pièces de Max Bruch, composées un demi-siècle plus tard.
Certaines pièces - en particulier les numéros 3, 5 et 6 - furent à l'origine conçues avec une harpe accompagnant les deux instruments mélodiques, la partie de piano conservant une texture grinçante et arpégée. Le sujet musical de la Mélodie roumaine (no 5) fut suggéré à Bruch par une visiteuse de l'une de ses soirées musicales du dimanche, "la délicieuse jeune princesse zu Wied" à qui l'op. 83 est dédié : probablement la princesse Sophie de Schönburg-Waldenburg (1885-1936), consort du prince Guillaume de Wied, qui devint princesse d'Albanie à l'avènement de son mari en 1914. Le compositeur trouva la mélodie exquise, elle constitue le point culminant du cycle, tant sur le plan musical qu'expressif, avec le «Nachtgesang» qui lui succède. Suit un Allegro vivace d'une légèreté et d'une habileté mendelssohniennes, avant que le cycle ne s'achève dans une atmosphère dominante de nostalgie lyrique.
Lorsque son fils en donna la première audition intégrale à Cologne en janvier 1909, Max Bruch fut heureux d'apprendre que le jeu de Max Felix avait été favorablement comparé à celui de Mühlfeld lui-même, gratifié d'une "sonorité et d'un sens du phrasé purs et exempts de scories" selon le chef d'orchestre Fritz Steinbach, qui, en tant que directeur de l'orchestre de la cour de Meiningen, avait travaillé en étroite collaboration avec Brahms sur sa musique d'orchestre. »
Vincent Le Tortorec est un musicien confirmé. Il a obtenu des diplômes supérieurs en violoncelle, musique de chambre et orchestre aux Conservatoires de Rennes, Paris et Rueil-Malmaison. Il s’est orienté vers la pédagogie en obtenant le diplôme d’État d’enseignement artistique et enseigne le violoncelle et les pratiques collectives à l’École des Arts d’Avranches. Depuis 2009, il s’est produit dans diverses formations et en solo (Quatuor Dumka, Trio Davilyss, Collision, Trio Skaald, Orchestre Opus 50, Orchestre Métropolitain de Rennes, Ars Juvenis, etc…). Depuis 2018, Vincent Le Tortorec dirige le chœur et l’orchestre de l’Ensemble Vocal et Instrumental de la Baie. Il est également violoncelliste du Trio BoWind et Directeur Artistique de l’Ensemble Vocal et Instrumental de la Baie.
Cyril Carbonne a étudié aux conservatoires de Dijon, Paris et Roubaix dans les classes d’Olivier Derbesse, Arnaud Leroy, et Claude Faucomprez. Il participe à de nombreux festivals de musique de chambre et d’opéra en Finlande, Russie, Norvège, Québec, Maroc, Mexique, Allemagne, Autriche... Il se produit avec des ensembles tels que l’Opéra de Dijon, l’Opéra éclaté, la Camérata de Bourgogne, l’ensemble Euphoria, le trio de Poche... Membre fondateur du Duo Syrius et de l'ensemble Flagogne, il est lauréat de concours internationaux de musique de Chambre en Norvège (Asker), au Portugal (Alcobaça), en Croatie (Varazdin) et en Russie (St Petersbourg). Diplômé d'Etat, professeur puis directeur d'établissement d'enseignement artistique, il démissionne de la fonction publique en 2023 et ouvre la Maison de la Sirène à Avranches. Il est créateur et arrangeur de plusieurs spectacles dont « Autour du Tango » pour le festival de Dunkerque « capitale régionale de la culture 2013 », « Au-delà des eaux » pour le Festival « Lille 3000 ». Il a mis en musique la pièce de théâtre « Blue-s-cat » de Koffi Kwahulé et il a créé le concert « Mozart chez les bohémiens » pour le festival de St Céré, le spectacle « les tisseurs de vent » ainsi qu’un hommage à Stravinsky, Donati, Bonakov et Lutoslavsky pour le Terem Crossover de St Petersbourg. Il programme la saison musicale de l'Hospice Comtesse à Lille puis désormais, celle de la Maison de la Sirène.
Habitués de la Sirène, vos hôtes préférés ne sont pas que serveurs !
Venez les découvrir dans du répertoire original romantique.
« N'ayant pas composé de musique de chambre pendant plusieurs décennies, Max Bruch écrivit en 1909 les Huit pièces pour clarinette, violoncelle et piano; l'ensemble fut publié l'année suivante par son fidèle éditeur Simrock. Elles appartiennent au genre des pièces de caractère de Schumann, comme les huit Fantasiestücke op. 12 et surtout le quatuor des «Märchenerzählungen» op. 113, écrites pour la même combinaison d'instruments. Selon Clara Schumann, les «Märchenerzählungen» étaient décrits par son mari comme étant "hautement romantiques", et l'on pourrait à juste titre en dire autant des huits pièces de Max Bruch, composées un demi-siècle plus tard.
Certaines pièces - en particulier les numéros 3, 5 et 6 - furent à l'origine conçues avec une harpe accompagnant les deux instruments mélodiques, la partie de piano conservant une texture grinçante et arpégée. Le sujet musical de la Mélodie roumaine (no 5) fut suggéré à Bruch par une visiteuse de l'une de ses soirées musicales du dimanche, "la délicieuse jeune princesse zu Wied" à qui l'op. 83 est dédié : probablement la princesse Sophie de Schönburg-Waldenburg (1885-1936), consort du prince Guillaume de Wied, qui devint princesse d'Albanie à l'avènement de son mari en 1914. Le compositeur trouva la mélodie exquise, elle constitue le point culminant du cycle, tant sur le plan musical qu'expressif, avec le «Nachtgesang» qui lui succède. Suit un Allegro vivace d'une légèreté et d'une habileté mendelssohniennes, avant que le cycle ne s'achève dans une atmosphère dominante de nostalgie lyrique.
Lorsque son fils en donna la première audition intégrale à Cologne en janvier 1909, Max Bruch fut heureux d'apprendre que le jeu de Max Felix avait été favorablement comparé à celui de Mühlfeld lui-même, gratifié d'une "sonorité et d'un sens du phrasé purs et exempts de scories" selon le chef d'orchestre Fritz Steinbach, qui, en tant que directeur de l'orchestre de la cour de Meiningen, avait travaillé en étroite collaboration avec Brahms sur sa musique d'orchestre. »
Vincent Le Tortorec est un musicien confirmé. Il a obtenu des diplômes supérieurs en violoncelle, musique de chambre et orchestre aux Conservatoires de Rennes, Paris et Rueil-Malmaison. Il s’est orienté vers la pédagogie en obtenant le diplôme d’État d’enseignement artistique et enseigne le violoncelle et les pratiques collectives à l’École des Arts d’Avranches. Depuis 2009, il s’est produit dans diverses formations et en solo (Quatuor Dumka, Trio Davilyss, Collision, Trio Skaald, Orchestre Opus 50, Orchestre Métropolitain de Rennes, Ars Juvenis, etc…). Depuis 2018, Vincent Le Tortorec dirige le chœur et l’orchestre de l’Ensemble Vocal et Instrumental de la Baie. Il est également violoncelliste du Trio BoWind et Directeur Artistique de l’Ensemble Vocal et Instrumental de la Baie.
Cyril Carbonne a étudié aux conservatoires de Dijon, Paris et Roubaix dans les classes d’Olivier Derbesse, Arnaud Leroy, et Claude Faucomprez. Il participe à de nombreux festivals de musique de chambre et d’opéra en Finlande, Russie, Norvège, Québec, Maroc, Mexique, Allemagne, Autriche... Il se produit avec des ensembles tels que l’Opéra de Dijon, l’Opéra éclaté, la Camérata de Bourgogne, l’ensemble Euphoria, le trio de Poche... Membre fondateur du Duo Syrius et de l'ensemble Flagogne, il est lauréat de concours internationaux de musique de Chambre en Norvège (Asker), au Portugal (Alcobaça), en Croatie (Varazdin) et en Russie (St Petersbourg). Diplômé d'Etat, professeur puis directeur d'établissement d'enseignement artistique, il démissionne de la fonction publique en 2023 et ouvre la Maison de la Sirène à Avranches. Il est créateur et arrangeur de plusieurs spectacles dont « Autour du Tango » pour le festival de Dunkerque « capitale régionale de la culture 2013 », « Au-delà des eaux » pour le Festival « Lille 3000 ». Il a mis en musique la pièce de théâtre « Blue-s-cat » de Koffi Kwahulé et il a créé le concert « Mozart chez les bohémiens » pour le festival de St Céré, le spectacle « les tisseurs de vent » ainsi qu’un hommage à Stravinsky, Donati, Bonakov et Lutoslavsky pour le Terem Crossover de St Petersbourg. Il programme la saison musicale de l'Hospice Comtesse à Lille puis désormais, celle de la Maison de la Sirène.
[récital] Maxime Alberti - piano -
2026-03-27 -
19:30
Pianiste Genèvois, Maxime ALBERTI a étudié à la Haute Ecole de Musique de Genève, au conservatoire de Lyon, en Erasmus au conservatoire de Tromso en Norvège et à l’Ecole Normale Alfred Cortot ou il prépare les concours internationaux d’interprétation et obtient un Master et un diplôme supérieur d’exécution à l’unanimité avec félicitations du jury.
Il bénéficie des conseils de Leon Fleisher, Anne Quéffelec, Dominique Merlet, Menahem Pressler, Jean-Claude Pennetier, Bernard Ringeissen, Ferenc Rados…
Il est lauréat des prix Maurice d’Espine, le prix Chaponnière ainsi que le prix spécial Karol Pajonk. Il est également lauréat du concours international Adilia Alieva, du Transylvanian International Piano Compétition et du Vera Lothar Shevshenko Piano Competition.
Il joue régulièrement dans de prestigieuses salles en soliste ou avec orchestre.
Pianiste Genèvois, Maxime ALBERTI a étudié à la Haute Ecole de Musique de Genève, au conservatoire de Lyon, en Erasmus au conservatoire de Tromso en Norvège et à l’Ecole Normale Alfred Cortot ou il prépare les concours internationaux d’interprétation et obtient un Master et un diplôme supérieur d’exécution à l’unanimité avec félicitations du jury.
Il bénéficie des conseils de Leon Fleisher, Anne Quéffelec, Dominique Merlet, Menahem Pressler, Jean-Claude Pennetier, Bernard Ringeissen, Ferenc Rados…
Il est lauréat des prix Maurice d’Espine, le prix Chaponnière ainsi que le prix spécial Karol Pajonk. Il est également lauréat du concours international Adilia Alieva, du Transylvanian International Piano Compétition et du Vera Lothar Shevshenko Piano Competition.
Il joue régulièrement dans de prestigieuses salles en soliste ou avec orchestre.
C’est dans le domaine des arts, une histoire d’amour qui a atteint son apogée sous François 1er. En musique, échanges mêlés de rivalités et luttes pour la suprématie ont enrichi les deux cultures musicales cousines – "Consobrinae"- dont ces deux musiciens sont des héritiers.
Le programme confronte ces traditions à la fin du Seicento (XVIIe siècle), âge d’or pour la musique. C’est un temps où le théorbe est un instrument obsolète en Italie dans sa forme soliste, relégué à l’accompagnement, alors que le violoncelle voit apparaître les premiers astres de sa littérature soliste : Domenico Gabrielli ou Alessandro Scarlatti. En France, au contraire, le théorbe y connaît alors son zénith comme instrument vedette. Le premier d’entre tous à le magnifier est Robert de Visée. Le violoncelle, quant à lui, devra patienter encore quelques décennies pour acquérir un rôle de premier plan. Ce constat a entraîné Hermine Horiot et Giovanni Bellini dans un échange culturel, l’un représentant le pays de l’autre dans sa musique, et vice‐versa, en interprétant des œuvres de Lully, de Visée, Gabrielli, Jacchini, Haym, Couperin, Scarlatti.
Diplômée du CNSMD de Paris en 2011, Hermine Horiot est une chambriste passionnée, membre des ensembles les Dissonances, fondé par David Grimal et de SmoKing Joséphine, créé par Geneviève Laurenceau. Elle se produit sur les scènes françaises et internationales aux côtés de partenaires comme Ferenc Vizi, François Salque, Cyprien Katsaris, Laurent Korcia, Alena Baeva, Alexandre Pascal, Léa Hennino, Gaspard Dehaene…
Diplômé du Conservatoire Santa Cecilia de Rome et de l’Escola Superior de Música de Catalunya (classe de Xavier Diaz‐Latorre), Giovanni Bellini donne de nombreux concerts en Europe, en soliste comme au sein d’ensembles prestigieux : Concert des Nations, Laberintos Ingeniosos, Orchestra Barocca de Wrocław, Concerto Romano, Concerto Scirocco, Arte Musica, Accademia d’Arcadia, Divino Sospiro, Cappella Musicale di S. Petronio, Orchestra del Gran Teatre del Liceu, Il Maggio Musicale Fiorentino, Virtuosi Italiani, Innsbrucker Festwochenorchester. Il enseigne le luth, le théorbe et la guitare baroque aux classes de perfectionnement du Centro Studi Musica & Arte de Florence.
C’est dans le domaine des arts, une histoire d’amour qui a atteint son apogée sous François 1er. En musique, échanges mêlés de rivalités et luttes pour la suprématie ont enrichi les deux cultures musicales cousines – "Consobrinae"- dont ces deux musiciens sont des héritiers.
Le programme confronte ces traditions à la fin du Seicento (XVIIe siècle), âge d’or pour la musique. C’est un temps où le théorbe est un instrument obsolète en Italie dans sa forme soliste, relégué à l’accompagnement, alors que le violoncelle voit apparaître les premiers astres de sa littérature soliste : Domenico Gabrielli ou Alessandro Scarlatti. En France, au contraire, le théorbe y connaît alors son zénith comme instrument vedette. Le premier d’entre tous à le magnifier est Robert de Visée. Le violoncelle, quant à lui, devra patienter encore quelques décennies pour acquérir un rôle de premier plan. Ce constat a entraîné Hermine Horiot et Giovanni Bellini dans un échange culturel, l’un représentant le pays de l’autre dans sa musique, et vice‐versa, en interprétant des œuvres de Lully, de Visée, Gabrielli, Jacchini, Haym, Couperin, Scarlatti.
Diplômée du CNSMD de Paris en 2011, Hermine Horiot est une chambriste passionnée, membre des ensembles les Dissonances, fondé par David Grimal et de SmoKing Joséphine, créé par Geneviève Laurenceau. Elle se produit sur les scènes françaises et internationales aux côtés de partenaires comme Ferenc Vizi, François Salque, Cyprien Katsaris, Laurent Korcia, Alena Baeva, Alexandre Pascal, Léa Hennino, Gaspard Dehaene…
Diplômé du Conservatoire Santa Cecilia de Rome et de l’Escola Superior de Música de Catalunya (classe de Xavier Diaz‐Latorre), Giovanni Bellini donne de nombreux concerts en Europe, en soliste comme au sein d’ensembles prestigieux : Concert des Nations, Laberintos Ingeniosos, Orchestra Barocca de Wrocław, Concerto Romano, Concerto Scirocco, Arte Musica, Accademia d’Arcadia, Divino Sospiro, Cappella Musicale di S. Petronio, Orchestra del Gran Teatre del Liceu, Il Maggio Musicale Fiorentino, Virtuosi Italiani, Innsbrucker Festwochenorchester. Il enseigne le luth, le théorbe et la guitare baroque aux classes de perfectionnement du Centro Studi Musica & Arte de Florence.
[récital] Deborah Nemtano - tous violonistes -
2026-05-15 -
19:30
Née en 1983, à Bordeaux, dans une famille passionnément musicienne, Deborah Nemtanu a quatre ans lorsqu’elle choisit le violon. La précocité dans la réussite et la diversité dans le talent caractériseront son parcours.
Après avoir obtenu son prix première nommée en 2001 au Conservatoire national supérieur de Musique de Paris, elle multiplie les distinctions internationales : prix de l’Académie Maurice Ravel en 2001, quatrième prix et prix spéciaux au concours Jacques Thibaud en 2002, participation au Perlman Program (USA) en 2007, deuxième prix du Concours Benjamin Britten de Londres en 2008, couronné par un concert avec le Royal Philharmonic Orchestra.
En 2005, elle est nommée premier violon solo de l’Orchestre de Chambre de Paris, un poste de haute responsabilité qu’elle occupe toujours aujourd’hui. A ce titre, elle se produit régulièrement comme soliste au Théâtre des Champs-Elysées, notamment dans le Concerto n°3 de Saint-Saëns, la Symphonie espagnole de Lalo, le concerto de Brahms ou les concertos de Bach, établissant au passage des relations de profonde confiance avec des chefs tels qu’Andris Nelsons, Louis Langrée, Juraj Valčuha, Daniel Harding ou Sir Roger Norrington.
Curieuse et passionnée, Deborah Nemtanu élargit progressivement son champ d’action : en proposant des programmes où elle passe habilement du violon à l'alto ; et en en dirigeant elle- même l’Orchestre de Chambre de Paris, en connivence avec les musiciens de l’orchestre, dans un véritable esprit chambriste.
Elle dirige notamment les symphonies de Mozart et Beethoven à l’Hôtel Sully à Paris (retransmis par France 3) et au Palais Farnèse à Rome. En tant que soliste, elle joue au Festival Enescu et au Festival d’Augsburg sous la direction de Sir Roger Norrington. Elle se produit également aux Folles journées de Nantes et de Tokyo, au festival de Salzburg, au Festival de Montpellier, au Festival de Colmar au Musée d'Orsay et au Festival des Midis-Minimes, à Bruxelles.
Au fil des des tournées, Deborah Nemtanu multiplie les rencontres musicales fécondes, notamment avec Bertrand Chamayou, Victor Julien Laferrière, Vilde Frang, Tanja et Kristina Tetzlaff, Stephen Kovacevich, Romain Descharmes, Jean-Frederic Neuburger, Adam Laloum, François Leleux, Emmanuel Pahud, Fazil Say, Daniel Hope, sans compter sa sœur Sarah Nemtanu, également violoniste et partenaire de toujours.
Salué par la presse, son premier disque, consacré à Saint Saëns et Fauré, sort en 2013, avec l’Orchestre de Chambre de Paris placé sous la direction de Thomas Zehetmair (Mirare). En décembre 2014, elle s’associe à sa sœur Sarah pour l’enregistrement des concertos pour violon de Bach et de Schnittke (Naive), puis ce sera l’intégrale des Duos de Bartók en 2016 pour Decca cette fois. En 2017, paraît le disque « Eh bien dansez maintenant! » (Lalo et Ravel) avec La Symphonie de Poche, ses complices et partenaires privilégiés. Enfin, en 2018 sort un CD (Label Pentatone) consacré au double concerto pour violon & piano, avec la belle collaboration de Sarah Nemtanu et des soeurs Kodama.
Deborah Nemtanu a été nommée Chevalier de l’Ordre des Arts et des Lettres en février 2016.
Elle joue un violon de Domenico Montagnana (1740), généreusement prêté par Monceau Investissements Mobiliers, société du groupe Monceau Assurances.
Tous violonistes!
L'histoire du violon vous sera contée par 5 compositeurs emblématiques, autodidactes ou grands virtuoses du violon. Au fil des siècles, ils ont chacun contribué à l'évolution de cet instrument-roi.
TELEMANN : Extrait des 12 fantaisies
KREISLER : Récitatif & scherzo
YSAŸE : Sonate n°2 dédiée à Jacques Thibaud
BACH : Partita n°3
PAGANINI : Extrait des Caprices
Née en 1983, à Bordeaux, dans une famille passionnément musicienne, Deborah Nemtanu a quatre ans lorsqu’elle choisit le violon. La précocité dans la réussite et la diversité dans le talent caractériseront son parcours.
Après avoir obtenu son prix première nommée en 2001 au Conservatoire national supérieur de Musique de Paris, elle multiplie les distinctions internationales : prix de l’Académie Maurice Ravel en 2001, quatrième prix et prix spéciaux au concours Jacques Thibaud en 2002, participation au Perlman Program (USA) en 2007, deuxième prix du Concours Benjamin Britten de Londres en 2008, couronné par un concert avec le Royal Philharmonic Orchestra.
En 2005, elle est nommée premier violon solo de l’Orchestre de Chambre de Paris, un poste de haute responsabilité qu’elle occupe toujours aujourd’hui. A ce titre, elle se produit régulièrement comme soliste au Théâtre des Champs-Elysées, notamment dans le Concerto n°3 de Saint-Saëns, la Symphonie espagnole de Lalo, le concerto de Brahms ou les concertos de Bach, établissant au passage des relations de profonde confiance avec des chefs tels qu’Andris Nelsons, Louis Langrée, Juraj Valčuha, Daniel Harding ou Sir Roger Norrington.
Curieuse et passionnée, Deborah Nemtanu élargit progressivement son champ d’action : en proposant des programmes où elle passe habilement du violon à l'alto ; et en en dirigeant elle- même l’Orchestre de Chambre de Paris, en connivence avec les musiciens de l’orchestre, dans un véritable esprit chambriste.
Elle dirige notamment les symphonies de Mozart et Beethoven à l’Hôtel Sully à Paris (retransmis par France 3) et au Palais Farnèse à Rome. En tant que soliste, elle joue au Festival Enescu et au Festival d’Augsburg sous la direction de Sir Roger Norrington. Elle se produit également aux Folles journées de Nantes et de Tokyo, au festival de Salzburg, au Festival de Montpellier, au Festival de Colmar au Musée d'Orsay et au Festival des Midis-Minimes, à Bruxelles.
Au fil des des tournées, Deborah Nemtanu multiplie les rencontres musicales fécondes, notamment avec Bertrand Chamayou, Victor Julien Laferrière, Vilde Frang, Tanja et Kristina Tetzlaff, Stephen Kovacevich, Romain Descharmes, Jean-Frederic Neuburger, Adam Laloum, François Leleux, Emmanuel Pahud, Fazil Say, Daniel Hope, sans compter sa sœur Sarah Nemtanu, également violoniste et partenaire de toujours.
Salué par la presse, son premier disque, consacré à Saint Saëns et Fauré, sort en 2013, avec l’Orchestre de Chambre de Paris placé sous la direction de Thomas Zehetmair (Mirare). En décembre 2014, elle s’associe à sa sœur Sarah pour l’enregistrement des concertos pour violon de Bach et de Schnittke (Naive), puis ce sera l’intégrale des Duos de Bartók en 2016 pour Decca cette fois. En 2017, paraît le disque « Eh bien dansez maintenant! » (Lalo et Ravel) avec La Symphonie de Poche, ses complices et partenaires privilégiés. Enfin, en 2018 sort un CD (Label Pentatone) consacré au double concerto pour violon & piano, avec la belle collaboration de Sarah Nemtanu et des soeurs Kodama.
Deborah Nemtanu a été nommée Chevalier de l’Ordre des Arts et des Lettres en février 2016.
Elle joue un violon de Domenico Montagnana (1740), généreusement prêté par Monceau Investissements Mobiliers, société du groupe Monceau Assurances.
Tous violonistes!
L'histoire du violon vous sera contée par 5 compositeurs emblématiques, autodidactes ou grands virtuoses du violon. Au fil des siècles, ils ont chacun contribué à l'évolution de cet instrument-roi.
TELEMANN : Extrait des 12 fantaisies
KREISLER : Récitatif & scherzo
YSAŸE : Sonate n°2 dédiée à Jacques Thibaud
BACH : Partita n°3
PAGANINI : Extrait des Caprices
"L'espoir n'est rien d'autre que la foi que ce moment n'est pas encore arrivé, que nous serons capables de voir notre véritable destin lorsqu'il approchera et que nous pourrons sauter à bord avant que la chance d'être nous-mêmes ne disparaisse à jamais et ne nous condamne à vivre dans le vide, dans la nostalgie de ce qui aurait dû être et qui n'a jamais été."
- Carlos Ruiz Zafón, Le labyrinthe des esprits
La musique a souvent permis à l’être humain de se positionner face à la société et aux grands évènements politiques mais aussi face à la spiritualité et aux grandes questions intérieures. Le programme HOPE imaginé par Arnaud Thorette et Gaëlle Solal rassemble des oeuvres qui expriment l’espoir : l’espoir spirituel, l’espoir identitaire, l’espoir politique, l’espoir d’un monde nouveau.
Le projet HOPE s’inscrit dans une démarche humaniste. Il peut s’associer à toutes sortes d’actions de médiation auprès des jeunes générations, notamment un travail autour du chant choral mais aussi des interventions scolaires prenant comme sujet la révolte, l’oppression…
Fille de parents mélomanes, Gaëlle Solal découvre la guitare classique à 5 ans et, dès l’année suivante, s’inscrit au Conservatoire de Marseille. Âgée de seulement 16 ans, elle entre au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris. Il y a des rêves qui vous collent à la peau et ce carnet d’enfant sur lequel est noté: « Quand je serai grande, je veux être danseuse et musicienne » peut en témoigner.
Après trois années, elle achève le CNSM avec le 1er Prix de guitare à l’unanimité, le DFS mention très bien et une volonté démultipliée. Joueuse, ambitieuse et fébrile à l’idée de passer à côté d’un nouveau défi, elle participe à des concours internationaux en parallèle de son Master à la Hochschule für Musik de Cologne. En 1998, elle devient la première Française à gagner l’un des plus grands concours de guitare classique, le concours d’Alessandria. Lauréate d’honneur de nombreuses fondations, elle remporte douze prix dans des concours nationaux et internationaux.
Au début des années 2000, Gaëlle Solal s’installe en Andalousie où elle décroche un poste de professeure agrégée aux Conservatoires supérieurs de Cordoue et de Séville. Pendant ces sept années d’enseignement, elle ne cesse jamais d’apprendre et suit des masterclasses à travers le monde. En 2006, après dix ans au sein du duo Astor, Gaëlle Solal reprend sa carrière solo, gagne dans la foulée le deuxième prix de la Guitar Foundation of America et se produit dans des salles prestigieuses dans plus de quarante pays.
En 2009, une escapade inespérée au Brésil fait prendre un nouveau tournant à sa carrière. A son retour, Gaëlle renonce à l’enseignement pour se consacrer pleinement à son amour infini pour la scène. Plus attachée à la liberté qu’au dogme, elle passe sans encombre du solo solennel en robe longue au duo clownesque Crazy Nails avec Boris Gaquere, de Bach aux Beatles, de la musique contemporaine à la musique baroque. Engagée et solidaire, elle se bat pour la présence et la visibilité des femmes dans le monde de la guitare à travers l’association Guitar’Elles dont elle est la fondatrice.
Elle réside à Bruxelles depuis 2011. Son album “Tuhu” sorti en décembre 2020 chez Eudora Records a fait l’unanimité de la presse et du public.
Révélation Classica en 2006, Arnaud Thorette a enregistré une quarantaine de disques salués par la presse française et étrangère (Diapason d'Or, Choc Classica, RTL d'Or, Diamant Opéra, Choix France Musique, Classical Award…). Citons notamment : Schubert in love, Après un rêve, Miroir(s), Bach-Transcriptions, Max Bruch/viola-concertos, Songs, Fauré - musique de chambre, Tenebrae, Johannes Brahms/sonates et trio, Café 1930/tangos, Into the dark/concertos - Karol Beffa, Schumann Fantasy, Besame mucho (Universal, Outhere/Alpha, Aparté, Naïve, La Dolce Volta, Cyprès...).
Né en Nouvelle-Calédonie, Arnaud Thorette passe son enfance à voyager en Afrique et au Moyen-Orient. Il étudie au CRR de Versailles puis au CNSMD de Lyon avec l’altiste Tasso Adamopoulos. Il obtient en 2003 le Diplôme National Supérieur d’Etudes Musicales à l’unanimité avec les félicitations du jury et poursuit un troisième cycle en alto et en musique de chambre. Il se perfectionne à Rotterdam, Londres, Genève, Sienne. Il remporte cinq Grands Prix internationaux ainsi que le prix de l’Académie Ravel. Enfin, il étudie la musique ancienne au Centre de musique baroque de Versailles.
Artiste engagé, Arnaud Thorette est soutenu dans ses multiples projets par de grandes fondations : De la Musique avant toute chose, Orange, Singer-Polignac, SAFRAN, HSBC, le Mécénat Musical Société Générale, le Fonds Chœur à l’ouvrage.
Arnaud Thorette est depuis plus de vingt ans - aux côtés du pianiste Johan Farjot - le directeur artistique de l’Ensemble Contraste, avec lequel il renouvelle l'approche du concert "classique". Avec son ensemble, il écrit, imagine ou met en scène de très nombreux spectacles, se produisant avec succès en France et en Europe sur les plus grandes scènes.
En 2009, il créé le label Contraste Productions, novateur dans le monde de la production musicale et audiovisuelle.
Ouvert à tous les genres musicaux, Arnaud Thorette a joué dans une quarantaine de pays à travers le monde. Passionné par la musique de chambre, il collabore avec les quatuors Ebène, Modigliani, Bennewitz, Marc Coppey, Henri Demarquette, François Salque, Jean-Guihen Queyras, Jérôme Pernoo, Karine Deshayes, Sandrine Piau, Jodie Devos, Philippe Jaroussky, Magali Léger, Jérôme Ducros, Nicolas Angelich… Il est recherché par des artistes issus d’autres mondes musicaux : Rosemary Standley, Albin de la Simone, Gaël Faye, Ben Mazué…
Arnaud Thorette a été invité en concerto notamment avec l’Orchestre Philharmonique Royal de Liège avec lequel il enregistre trois disques, l’Orchestre de l’Opéra de Marseille, l’Orchestre Philharmonique de Strasbourg, l’Orchestre Régional d’Auvergne, l’Orchestre de la Radio de Munich, l’Orchestre de Chambre de Genève, le Paris Mozart Orchestra, l’Orchestre Philharmonique de Slovaquie…
Créateur d'une quarantaine d'œuvres contemporaines, il enregistre les concertos pour alto de Karol Beffa, Philippe Hersant ou encore Johan Farjot avec lesquels il a tissé des liens forts.
Engagé depuis 2012 aux côtés de l'association SOS Villages d'enfants, il produit en 2013 au Théâtre du Châtelet l'événement solidaire Tous en cœur pour France 2 puis en 2016 le conte musical Georgia - Tous mes rêves chantent (Gallimard Jeunesse). Ce livre-disque remporte la Pépite "7-12 ans" du Salon du Livre et de la Jeunesse de Montreuil, un Coup de coeur Fnac et le prix de l’Académie Charles Cros. En 2020, il écrit le conte musical Siam – Au fil de l’eau (Flammarion Jeunesse) qui remporte à son tour le prix de l’Académie Charles Cros et connait un vif succès auprès du public et des médias.
Très investi dans la transmission et la médiation, Arnaud Thorette mène depuis 12 ans un vaste projet éducatif dans le Pas-de-Calais qui a touché plus de 8000 enfants. Il enseigne au CRR/PSPBB de Boulogne-Billancourt et à l'ESMD de Lille.
J.S. BACH : Ich ruf zu dir, BWV 639
J. DOWLAND : Forlon hope fancy
S. GRAPPELLI : Rolls
Trad. turc : Drama Köprüsü
V. JARA : Canción del árbol
A. PIAZZOLLA : Ave Maria
PIAF/LOUIGUY : La vie en rose
D. OLIVERI : J’attendrai
G. FAURÉ : Après un rêve
S. COHEN : Hatikva
V. PARRA : Gracias a la vida
F. SCHUBERT : 6 moments musicaux D.780
T. WOLF : Ballad of the sad young men
A. RENARD : Le temps des cerises
M. DE FALLA : Asturiana, Nana
N. GARCIA RADIOHEAD : Veish a no drom
Radiohead : Pyramid Song
J. LENNON : Imagine
"L'espoir n'est rien d'autre que la foi que ce moment n'est pas encore arrivé, que nous serons capables de voir notre véritable destin lorsqu'il approchera et que nous pourrons sauter à bord avant que la chance d'être nous-mêmes ne disparaisse à jamais et ne nous condamne à vivre dans le vide, dans la nostalgie de ce qui aurait dû être et qui n'a jamais été."
- Carlos Ruiz Zafón, Le labyrinthe des esprits
La musique a souvent permis à l’être humain de se positionner face à la société et aux grands évènements politiques mais aussi face à la spiritualité et aux grandes questions intérieures. Le programme HOPE imaginé par Arnaud Thorette et Gaëlle Solal rassemble des oeuvres qui expriment l’espoir : l’espoir spirituel, l’espoir identitaire, l’espoir politique, l’espoir d’un monde nouveau.
Le projet HOPE s’inscrit dans une démarche humaniste. Il peut s’associer à toutes sortes d’actions de médiation auprès des jeunes générations, notamment un travail autour du chant choral mais aussi des interventions scolaires prenant comme sujet la révolte, l’oppression…
Fille de parents mélomanes, Gaëlle Solal découvre la guitare classique à 5 ans et, dès l’année suivante, s’inscrit au Conservatoire de Marseille. Âgée de seulement 16 ans, elle entre au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris. Il y a des rêves qui vous collent à la peau et ce carnet d’enfant sur lequel est noté: « Quand je serai grande, je veux être danseuse et musicienne » peut en témoigner.
Après trois années, elle achève le CNSM avec le 1er Prix de guitare à l’unanimité, le DFS mention très bien et une volonté démultipliée. Joueuse, ambitieuse et fébrile à l’idée de passer à côté d’un nouveau défi, elle participe à des concours internationaux en parallèle de son Master à la Hochschule für Musik de Cologne. En 1998, elle devient la première Française à gagner l’un des plus grands concours de guitare classique, le concours d’Alessandria. Lauréate d’honneur de nombreuses fondations, elle remporte douze prix dans des concours nationaux et internationaux.
Au début des années 2000, Gaëlle Solal s’installe en Andalousie où elle décroche un poste de professeure agrégée aux Conservatoires supérieurs de Cordoue et de Séville. Pendant ces sept années d’enseignement, elle ne cesse jamais d’apprendre et suit des masterclasses à travers le monde. En 2006, après dix ans au sein du duo Astor, Gaëlle Solal reprend sa carrière solo, gagne dans la foulée le deuxième prix de la Guitar Foundation of America et se produit dans des salles prestigieuses dans plus de quarante pays.
En 2009, une escapade inespérée au Brésil fait prendre un nouveau tournant à sa carrière. A son retour, Gaëlle renonce à l’enseignement pour se consacrer pleinement à son amour infini pour la scène. Plus attachée à la liberté qu’au dogme, elle passe sans encombre du solo solennel en robe longue au duo clownesque Crazy Nails avec Boris Gaquere, de Bach aux Beatles, de la musique contemporaine à la musique baroque. Engagée et solidaire, elle se bat pour la présence et la visibilité des femmes dans le monde de la guitare à travers l’association Guitar’Elles dont elle est la fondatrice.
Elle réside à Bruxelles depuis 2011. Son album “Tuhu” sorti en décembre 2020 chez Eudora Records a fait l’unanimité de la presse et du public.
Révélation Classica en 2006, Arnaud Thorette a enregistré une quarantaine de disques salués par la presse française et étrangère (Diapason d'Or, Choc Classica, RTL d'Or, Diamant Opéra, Choix France Musique, Classical Award…). Citons notamment : Schubert in love, Après un rêve, Miroir(s), Bach-Transcriptions, Max Bruch/viola-concertos, Songs, Fauré - musique de chambre, Tenebrae, Johannes Brahms/sonates et trio, Café 1930/tangos, Into the dark/concertos - Karol Beffa, Schumann Fantasy, Besame mucho (Universal, Outhere/Alpha, Aparté, Naïve, La Dolce Volta, Cyprès...).
Né en Nouvelle-Calédonie, Arnaud Thorette passe son enfance à voyager en Afrique et au Moyen-Orient. Il étudie au CRR de Versailles puis au CNSMD de Lyon avec l’altiste Tasso Adamopoulos. Il obtient en 2003 le Diplôme National Supérieur d’Etudes Musicales à l’unanimité avec les félicitations du jury et poursuit un troisième cycle en alto et en musique de chambre. Il se perfectionne à Rotterdam, Londres, Genève, Sienne. Il remporte cinq Grands Prix internationaux ainsi que le prix de l’Académie Ravel. Enfin, il étudie la musique ancienne au Centre de musique baroque de Versailles.
Artiste engagé, Arnaud Thorette est soutenu dans ses multiples projets par de grandes fondations : De la Musique avant toute chose, Orange, Singer-Polignac, SAFRAN, HSBC, le Mécénat Musical Société Générale, le Fonds Chœur à l’ouvrage.
Arnaud Thorette est depuis plus de vingt ans - aux côtés du pianiste Johan Farjot - le directeur artistique de l’Ensemble Contraste, avec lequel il renouvelle l'approche du concert "classique". Avec son ensemble, il écrit, imagine ou met en scène de très nombreux spectacles, se produisant avec succès en France et en Europe sur les plus grandes scènes.
En 2009, il créé le label Contraste Productions, novateur dans le monde de la production musicale et audiovisuelle.
Ouvert à tous les genres musicaux, Arnaud Thorette a joué dans une quarantaine de pays à travers le monde. Passionné par la musique de chambre, il collabore avec les quatuors Ebène, Modigliani, Bennewitz, Marc Coppey, Henri Demarquette, François Salque, Jean-Guihen Queyras, Jérôme Pernoo, Karine Deshayes, Sandrine Piau, Jodie Devos, Philippe Jaroussky, Magali Léger, Jérôme Ducros, Nicolas Angelich… Il est recherché par des artistes issus d’autres mondes musicaux : Rosemary Standley, Albin de la Simone, Gaël Faye, Ben Mazué…
Arnaud Thorette a été invité en concerto notamment avec l’Orchestre Philharmonique Royal de Liège avec lequel il enregistre trois disques, l’Orchestre de l’Opéra de Marseille, l’Orchestre Philharmonique de Strasbourg, l’Orchestre Régional d’Auvergne, l’Orchestre de la Radio de Munich, l’Orchestre de Chambre de Genève, le Paris Mozart Orchestra, l’Orchestre Philharmonique de Slovaquie…
Créateur d'une quarantaine d'œuvres contemporaines, il enregistre les concertos pour alto de Karol Beffa, Philippe Hersant ou encore Johan Farjot avec lesquels il a tissé des liens forts.
Engagé depuis 2012 aux côtés de l'association SOS Villages d'enfants, il produit en 2013 au Théâtre du Châtelet l'événement solidaire Tous en cœur pour France 2 puis en 2016 le conte musical Georgia - Tous mes rêves chantent (Gallimard Jeunesse). Ce livre-disque remporte la Pépite "7-12 ans" du Salon du Livre et de la Jeunesse de Montreuil, un Coup de coeur Fnac et le prix de l’Académie Charles Cros. En 2020, il écrit le conte musical Siam – Au fil de l’eau (Flammarion Jeunesse) qui remporte à son tour le prix de l’Académie Charles Cros et connait un vif succès auprès du public et des médias.
Très investi dans la transmission et la médiation, Arnaud Thorette mène depuis 12 ans un vaste projet éducatif dans le Pas-de-Calais qui a touché plus de 8000 enfants. Il enseigne au CRR/PSPBB de Boulogne-Billancourt et à l'ESMD de Lille.
J.S. BACH : Ich ruf zu dir, BWV 639
J. DOWLAND : Forlon hope fancy
S. GRAPPELLI : Rolls
Trad. turc : Drama Köprüsü
V. JARA : Canción del árbol
A. PIAZZOLLA : Ave Maria
PIAF/LOUIGUY : La vie en rose
D. OLIVERI : J’attendrai
G. FAURÉ : Après un rêve
S. COHEN : Hatikva
V. PARRA : Gracias a la vida
F. SCHUBERT : 6 moments musicaux D.780
T. WOLF : Ballad of the sad young men
A. RENARD : Le temps des cerises
M. DE FALLA : Asturiana, Nana
N. GARCIA RADIOHEAD : Veish a no drom
Radiohead : Pyramid Song
J. LENNON : Imagine
[concert] Les Kap's - intimiste -
2026-06-12 -
19:30
Les Kapsber'girls cherchent une nouvelle clé de lecture quant à l'interprétation des sources historiques. Puisant leur inspiration dans divers répertoires à caractère traditionnel, les musiciennes jettent un regard transversal sur les œuvres des XVIIe et XVIIIe siècles, trouvent de nouvelles passerelles et s'amusent avec les genres. Énergie et vitalité empruntées aux musiques « populaires », colorations tirant dans les tons de musiques actuelles et envie fébrile de chercher le neuf dans l'ancien sont à l'ordre du jour.
Leur nom ? C’est un clin d’œil à l’un des plus fameux compositeurs italiens du début du XVIIe siècle : Hieronymus Kapsberger (1580-1651). Elles mettent ce dernier à l’honneur dans leur premier disque Che fai tù ? (Mars 2020, Muso) qui a obtenu plusieurs récompenses : Diapason d’Or, ffff Télérama, Joker Découverte Crescendo Magazine (BE).
Leur deuxième disque dédié aux Brunettes françaises du XVIIIe siècle sorti en 2021 sur le label Alpha Classics a reçu de nombreuses critiques enthousiastes de la presse (5 étoiles Classica, 5 Diapasons, Gramophone, Le Figaro,...) et du public !
Les Kapsber'girls bénéficient régulièrement de résidences de recherche-création pour poursuivre leur travail artistique. Ainsi, depuis la création de l'ensemble, elles ont été reçues à l'Académie Bach (Arques la Bataille), à la Cité de la Voix (Vézelay), à Sinfonia en Périgord, au CCR d'Ambronay, au CRR Ferme de Villefavard et au CCR de l'Abbaye aux Dames (Saintes) .
Leurs concerts sont régulièrement récompensés par la critique (Opéra Critique, Resmusica, Clasicagenda, etc.). Depuis leur création, on a pu les entendre dans plusieurs salles et festivals européens renommés : London Festival of Baroque Music (Angl.), Brighton’s Festival (Angl.), Festival Académie Bach, Toulouse les Orgues, Fora do Lugar (Portugal), Sinfonia en Périgord, Festival Quatuor du Luberon, Les Nuits de Septembre (Belgique), Mars en Baroque, Festival Radio France, Opera Lyon Underground...
Les Kapsber’girls bénéficient du soutien de la DRAC Auvergne-Rhône-Alpes, du CNM, de l’ADAMI, de la SPEDIDAM et sont soutenues par la Fondation Orange.
Les Kapsber'girls cherchent une nouvelle clé de lecture quant à l'interprétation des sources historiques. Puisant leur inspiration dans divers répertoires à caractère traditionnel, les musiciennes jettent un regard transversal sur les œuvres des XVIIe et XVIIIe siècles, trouvent de nouvelles passerelles et s'amusent avec les genres. Énergie et vitalité empruntées aux musiques « populaires », colorations tirant dans les tons de musiques actuelles et envie fébrile de chercher le neuf dans l'ancien sont à l'ordre du jour.
Leur nom ? C’est un clin d’œil à l’un des plus fameux compositeurs italiens du début du XVIIe siècle : Hieronymus Kapsberger (1580-1651). Elles mettent ce dernier à l’honneur dans leur premier disque Che fai tù ? (Mars 2020, Muso) qui a obtenu plusieurs récompenses : Diapason d’Or, ffff Télérama, Joker Découverte Crescendo Magazine (BE).
Leur deuxième disque dédié aux Brunettes françaises du XVIIIe siècle sorti en 2021 sur le label Alpha Classics a reçu de nombreuses critiques enthousiastes de la presse (5 étoiles Classica, 5 Diapasons, Gramophone, Le Figaro,...) et du public !
Les Kapsber'girls bénéficient régulièrement de résidences de recherche-création pour poursuivre leur travail artistique. Ainsi, depuis la création de l'ensemble, elles ont été reçues à l'Académie Bach (Arques la Bataille), à la Cité de la Voix (Vézelay), à Sinfonia en Périgord, au CCR d'Ambronay, au CRR Ferme de Villefavard et au CCR de l'Abbaye aux Dames (Saintes) .
Leurs concerts sont régulièrement récompensés par la critique (Opéra Critique, Resmusica, Clasicagenda, etc.). Depuis leur création, on a pu les entendre dans plusieurs salles et festivals européens renommés : London Festival of Baroque Music (Angl.), Brighton’s Festival (Angl.), Festival Académie Bach, Toulouse les Orgues, Fora do Lugar (Portugal), Sinfonia en Périgord, Festival Quatuor du Luberon, Les Nuits de Septembre (Belgique), Mars en Baroque, Festival Radio France, Opera Lyon Underground...
Les Kapsber’girls bénéficient du soutien de la DRAC Auvergne-Rhône-Alpes, du CNM, de l’ADAMI, de la SPEDIDAM et sont soutenues par la Fondation Orange.
Pour Noël, offrez-lui, offrez-vous ou faites vous offrir une place pour le nouveau récital d'Hélène Fouquart.
Amie de la Maison de la Sirène, elle vient offrir un programme d'une rare élégance composé des dernières sonates de Mozart et Beethoven, compositeurs alors en fin de vie, en pleine capacité de leur génie expressif et rythmique :
BEETHOVEN : Sonate n°32 en ut mineur, opus 111
MOZART : Sonate n°14 en do mineur, K 457
Pour Noël, offrez-lui, offrez-vous ou faites vous offrir une place pour le nouveau récital d'Hélène Fouquart.
Amie de la Maison de la Sirène, elle vient offrir un programme d'une rare élégance composé des dernières sonates de Mozart et Beethoven, compositeurs alors en fin de vie, en pleine capacité de leur génie expressif et rythmique :
BEETHOVEN : Sonate n°32 en ut mineur, opus 111
MOZART : Sonate n°14 en do mineur, K 457